Prévenir, c’est agir avant que ça casse.

 

J’interviens régulièrement en entreprise — publiques, privées ou semi-publiques — pour proposer des formations ciblées autour du stress, de l’épuisement, du trauma, du harcèlement, ou plus largement de la santé au travail.

Ces interventions visent à renforcer les capacités d’auto-protection des collaborateurs, à favoriser la prise de recul, et à rendre chacun acteur de sa propre santé mentale. C’est de la prévention primaire, et c’est un levier puissant pour construire des environnements de travail plus résilients, plus humains.

 

Je forme aussi au sein d’écoles spécialisées, comme l’ES-ASUR à Lausanne, auprès des ambulanciers, régulateurs 144, et autres professionnels de l’urgence — en formation initiale ou continue.

On y parle de stress, de gestion de crise, de violence, de cohésion d’équipe… tout ce qui, dans l’urgence, mobilise le mental autant que le corps.

 

Former, pour moi, c’est transmettre des clés concrètes, créer des prises de conscience, et ouvrir des espaces de réflexion où chacun peut questionner ses pratiques et renforcer ses ressources.